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Voici les nouvelles du 23/09/2024.
Bourse
- La Bourse frileuse
La Bourse s'attend à une chute du titre de la société Acme Immo. En effet, hier soir, un incendie provoqué par des sans-abris s'est propagé au bâtiment de la société.
Si Julien B, P.D.G. de la société, a voulu rassuré les investisseurs et a minimisé l'impact de ce sinistre, il apparait que la société venait de faire de nombreux investissement dans ce bâtiment et la production pourrait en être contrariée.
- La Bourse frileuse
La Bourse s'attend à une chute du titre de la société Gro Enterprises. En effet, hier soir, un incendie provoqué par des sans-abris s'est propagé au bâtiment de la société.
Si Jeffrey Lebowski, P.D.G. de la société, a voulu rassuré les investisseurs et a minimisé l'impact de ce sinistre, il apparait que la société venait de faire de nombreux investissement dans ce bâtiment et la production pourrait en être contrariée.
- La Bourse frileuse
La Bourse s'attend à une chute du titre de la société Rdu R&b. En effet, hier soir, un incendie provoqué par des sans-abris s'est propagé au bâtiment de la société.
Si Herve Des Ursins, P.D.G. de la société, a voulu rassuré les investisseurs et a minimisé l'impact de ce sinistre, il apparait que la société venait de faire de nombreux investissement dans ce bâtiment et la production pourrait en être contrariée.
Economie
- Sihol Ohmvert est en difficulté ?
On apprend que la société Sihol Ohmvert n'aurait pas les moyens de payer les salaires de certains cadres du siège social. Plusieurs gros salaires seraient concernés dont celui du P.D.G., Ex Tipp. Ce dernier, interrogé hier soir, ne s'est livré à aucun commentaire.
Faits divers
- Prise d'otage dans les locaux de la société Sihol Kukulu Hale
Hier soir, Ex Tipp et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Yotine Guy, représentant du syndicat majoritaire.
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Lux Kw
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Chris T, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Human Corporation
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Tac Tac, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Prise d'otage dans les locaux de la société Human Corporation
Hier soir, Tac Tac et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Teufarci Thomas, représentant du syndicat majoritaire.
- La chasse est ouverte
Les syndicats de la société Human Corporation offrent une prime de 10 000 EurJeu pour la capture de Tac Tac qui vient de s'enfuir avec la caisse et sans payer les salaires des employés. Avis aux amateurs de sensations fortes... et de prime !
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Human Corporation
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Tac Tac, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Human Corporation et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Human Corporation. En effet, Tac Tac, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Prise d'otage dans les locaux de la société Tacchri Corporation
Hier soir, Tac Tac et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Samob Yvan, représentant du syndicat majoritaire.
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Tacchri Corporation et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Tacchri Corporation. En effet, Tac Tac, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- La chasse est ouverte
Les syndicats de la société Tools Corporation offrent une prime de 10 000 EurJeu pour la capture de Tac Tac qui vient de s'enfuir avec la caisse et sans payer les salaires des employés. Avis aux amateurs de sensations fortes... et de prime !
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Tools Corporation et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Tools Corporation. En effet, Tac Tac, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Tools Corporation et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Tools Corporation. En effet, Tac Tac, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Prise d'otage dans les locaux de la société Tools Corporation
Hier soir, Tac Tac et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Diote Kelly, représentant du syndicat majoritaire.
- La chasse est ouverte
Les syndicats de la société Lux Kw offrent une prime de 10 000 EurJeu pour la capture de Chris T qui vient de s'enfuir avec la caisse et sans payer les salaires des employés. Avis aux amateurs de sensations fortes... et de prime !
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Lux Kw et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Lux Kw. En effet, Chris T, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Lux Kw
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Chris T, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Lux Kw
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Chris T, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Prise d'otage dans les locaux de la société Lux Kw
Hier soir, Chris T et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Strueux Simon, représentant du syndicat majoritaire.
- Prise d'otage dans les locaux de la société Rebirth
Hier soir, Gregory Campion et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Gator Ali, représentant du syndicat majoritaire.
- L'altercation tourne à l'accident !
C'est en apprenant que son salaire ne serait pas versé qu'une altercation aurait éclaté entre Ex Tipp, patron de la société Sihol Kukulu Hale, et M. Ptipeu Justin, comptable de la société. Excédé, ce dernier aurait quitté le siège social au volant de sa voiture de sport et c'est 3 kilomètres plus loin que l'accident est survenu.
Si le véhicule a été totalement détruit, l'employé s'en sort miraculeusement qu'avec des blessures légères.
- L'altercation tourne à l'accident !
C'est en apprenant que son salaire ne serait pas versé qu'une altercation aurait éclaté entre Tac Tac, patron de la société Tools Corporation, et M. Nement Edgar, comptable de la société. Excédé, ce dernier aurait quitté le siège social au volant de sa voiture de sport et c'est 3 kilomètres plus loin que l'accident est survenu.
Si le véhicule a été totalement détruit, l'employé s'en sort miraculeusement qu'avec des blessures légères.
- Prise d'otage dans les locaux de la société Rebirth
Hier soir, Gregory Campion et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Dibul Armand, représentant du syndicat majoritaire.
- Prise d'otage dans les locaux de la société Rebirth
Hier soir, Gregory Campion et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Alapate Phil, représentant du syndicat majoritaire.
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Rebirth
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Gregory Campion, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- La chasse est ouverte
Les syndicats de la société Rebirth offrent une prime de 10 000 EurJeu pour la capture de Gregory Campion qui vient de s'enfuir avec la caisse et sans payer les salaires des employés. Avis aux amateurs de sensations fortes... et de prime !
- Prise d'otage dans les locaux de la société Rebirth
Hier soir, Gregory Campion et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Tim Vincent, représentant du syndicat majoritaire.
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Rebirth
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Gregory Campion, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- La chasse est ouverte
Les syndicats de la société Rebirth offrent une prime de 10 000 EurJeu pour la capture de Gregory Campion qui vient de s'enfuir avec la caisse et sans payer les salaires des employés. Avis aux amateurs de sensations fortes... et de prime !
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Sihol Kukulu Hale
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Ex Tipp, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Rebirth et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Rebirth. En effet, Gregory Campion, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Familia Papers
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Gregory Campion, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- La chasse est ouverte
Les syndicats de la société Familia Papers offrent une prime de 10 000 EurJeu pour la capture de Gregory Campion qui vient de s'enfuir avec la caisse et sans payer les salaires des employés. Avis aux amateurs de sensations fortes... et de prime !
- Prise d'otage dans les locaux de la société Sihol Ohmvert
Hier soir, Ex Tipp et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Nanah Judas, représentant du syndicat majoritaire.
- La chasse est ouverte
Les syndicats de la société Sihol Ohmvert offrent une prime de 10 000 EurJeu pour la capture de Ex Tipp qui vient de s'enfuir avec la caisse et sans payer les salaires des employés. Avis aux amateurs de sensations fortes... et de prime !
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Sihol Ohmvert et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Sihol Ohmvert. En effet, Ex Tipp, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Sihol Mat
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Ex Tipp, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Prise d'otage dans les locaux de la société Sihol Mat
Hier soir, Ex Tipp et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Alapate Phil, représentant du syndicat majoritaire.
- Festival pyrotechnique dans les locaux de la société Rebirth !
La société Rebirth nous a offert un magnifique feu d'artifice dans son usine. A priori , rien d'exceptionnel, sauf que ce spectacle nous a été offert à partir de la combustion volontaire d'un vieux stock d'outil de production. Les syndicats dénoncent les jeux puérils auxquels se livrent Gregory Campion, qui ferait mieux, selon eux, "de chercher à vendre sa camelote plutôt que de jouer avec le feu".
- Rions un peu !
Le PDG de la société Poilux Plastic, Vincent K avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Nervé Aimée, employé de la société Poilux Plastic a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Vincent K, le PDG de la société.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Benj Ulukai, P.D.G. de la société Phenix, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Festival pyrotechnique dans les locaux de la société Epi D Or !
La société Epi D Or nous a offert un magnifique feu d'artifice dans son usine. A priori , rien d'exceptionnel, sauf que ce spectacle nous a été offert à partir de la combustion volontaire d'un vieux stock d'outil de production. Les syndicats dénoncent les jeux puérils auxquels se livrent Benj Ulukai, qui ferait mieux, selon eux, "de chercher à vendre sa camelote plutôt que de jouer avec le feu".
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société Epi D Or, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Daprélat Maxime dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- Festival pyrotechnique dans les locaux de la société Veau D Or !
La société Veau D Or nous a offert un magnifique feu d'artifice dans son usine. A priori , rien d'exceptionnel, sauf que ce spectacle nous a été offert à partir de la combustion volontaire d'un vieux stock d'outil de production. Les syndicats dénoncent les jeux puérils auxquels se livrent Benj Ulukai, qui ferait mieux, selon eux, "de chercher à vendre sa camelote plutôt que de jouer avec le feu".
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Seb Sebra. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société S_prodimmo."
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Hultoux Jeanne, bibliothécaire de la société S_prodimmo, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Seb Sebra, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- Grosse frayeur dans les locaux de la société S_prodimmo !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Nement Edgar de la société S_prodimmo a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Seb Sebra, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Prise d'otage dans les locaux de la société Lux Kw
Hier soir, Chris T et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Ebasque Robert, représentant du syndicat majoritaire.
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société Gro Enterprises, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Strueux Simon dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Laurent Lolopx87. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société Oresto."
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Tracteur Rouillé !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Ature Phil de la société Tracteur Rouillé a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Julien B, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Low Cost !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Strueux Simon de la société Low Cost a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Julien B, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Aihanvi Jean, employé de la société Acme Immo a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Julien B, le PDG de la société.
- Rions un peu !
Le PDG de la société Acme Kw Low Cost, Julien B avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Julien B, P.D.G. de la société Acme Kw Low Cost, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société Acme Kw Low Cost. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Julien B, le PDG de la société.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Vincent K, P.D.G. de la société Poilux Plastic, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Lux Kw
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Chris T, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- La chasse est ouverte
Les syndicats de la société Les Amis Du Béton offrent une prime de 10 000 EurJeu pour la capture de Jean Gabin qui vient de s'enfuir avec la caisse et sans payer les salaires des employés. Avis aux amateurs de sensations fortes... et de prime !
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Ex Europa
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Serge Forté, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Prise d'otage dans les locaux de la société Ex Europa
Hier soir, Serge Forté et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Teufarci Thomas, représentant du syndicat majoritaire.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Bp-petrole s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Culaire Lorie, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
John Bois, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Bp-petrole !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Gator Ali de la société Bp-petrole a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, John Bois, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société Les Bûcherons Des Moneghetti, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Ature Phil dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Rdu R&b, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Rdu R&b." a déclaré Herve Des Ursins, P.D.G. de la société.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Ptipeu Justin, employé de la société Les Bûcherons Du Rocher a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Herve Des Ursins, le PDG de la société.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Carmillon s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Dorsa Elsa, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Seb Girodo, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
Social
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Human Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Human Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Human Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Tacchri Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Tacchri Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Tacchri Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- La société Acme Kw Low Cost se permet de licencier !
La nouvelle s'est vite répandue dans les locaux de la société Acme Kw Low Cost : le P.D.G. a licencié un nombre important de salariés. Et maintenant, les employés craignent pour leur emploi et se posent des questions sur la fiabilité de leur société.
Les syndicats, réunis en conseil extraordinaire n'ont pas encore réagis a cette nouvelle décision.
- C'est inadmissible !!!
Les syndicats de la société Tacchri Corporation se sont insurgés devant le niveau de rémunération de leur P.D.G.. "Alors qu'il y a des ouvriers qui gagne une misère, Tac Tac, notre P.D.G. se permet de s'octroyer un salaire de 1000000 EuroJeu. Je trouve ça : inadmissible !!!" a délcaré Mme Taitik Inès à la sortie de l'usine de la société.
- Les employés ont appris la nouvelle par la presse !
C'est hier matin que Mme Thaume Emma a appris la nouvelle en lisant la presse locale : la société L.A Immo Loc licencie et elle fait partie du lot ! "C'est inadmissible d'apprendre une telle nouvelle comme ça. Qu'est-ce que je vais faire maintenant à 52 ans, qui va m'employer ?"
Aurelien Lejeune, P.D.G. de la société, a annoncé : "La situation économique de la société ne peut nous permettre de garder tout ce personnel. Il en va de la survie de toute la société. J'ai déjà pris des dispositions pour que le personnel licencié retrouve rapidement du travail auprès de nos clients, fournisseurs et sous-traitants." Nous espérons que ce soit effectivement le cas.
- Un nouveau plan social pour la société Rdu R&b Lc
Une fois encore, ce sont les salariés qui payent la morosité économique qui sévit actuellement. Les syndicats, réunis en session extraordinaire, appellent à une grêve illimitée.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Rebirth s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Gregory Campion sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Rebirth fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Gregory Campion est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Rebirth. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Gregory Campion ne s'est livré a aucun commentaire.
- Démission du chef des travaux de la société Masdek Farms
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Yotine Guy, chef des travaux de la société Masdek Farms, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- "DEHORS !!!"
C'est par ces mots que Julien B a remercié 20 salariés de sa société (Tracteur Flambeur) pour leur contribution aux résultats.
Ils ont donc été prié de quitter les lieux avant midi et d'emporter tous leurs effets personnels.
Les syndicats, choqués, ont signalé qu'ils ne resteraient pas sans réagir.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Rebirth s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Gregory Campion sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Rebirth fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Gregory Campion est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Rebirth. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Gregory Campion ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Rebirth s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Gregory Campion sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Rebirth fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Gregory Campion est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Rebirth. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Gregory Campion ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Tools Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Tools Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Tools Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Tools Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Tools Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Tools Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Sihol Mat s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Ex Tipp sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Sihol Mat fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Ex Tipp est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Sihol Mat. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Ex Tipp ne s'est livré a aucun commentaire.
- Démission du chef des travaux de la société Epi D Or
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Gator Ali, chef des travaux de la société Epi D Or, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Tacchri Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Tacchri Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Tacchri Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- Démission du chef des travaux de la société Rdu R&b
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Aihanvi Jean, chef des travaux de la société Rdu R&b, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
Sport
- Le championnat du monde de bridge annulé
Hier soir, un violent incendie s'est déclaré dans les locaux de la société Acme Kw Low Cost sponsor et organisatrice du championnat du monde de bridge.
Ce matin, Julien B, P.D.G. de la société, a déclaré :"Les dégats sont importants et remettent en cause l'organisation et le bon déroulement de ce championnat. Aussi, la fédération mondiale de bridge a décidé d'annulé l'édition du championnat de cette année." La réparation des locaux, prise en charge en partie par les assurances, devrait se faire rapidement.
Version 3.10 / Page mise en cache le 07/10/2024 - 04:16:13.