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Voici les nouvelles du 29/09/2024.
Bourse
- La Bourse frileuse
La Bourse s'attend à une chute du titre de la société Les Bûcherons Des Moneghetti. En effet, hier soir, un incendie provoqué par des sans-abris s'est propagé au bâtiment de la société.
Si Herve Des Ursins, P.D.G. de la société, a voulu rassuré les investisseurs et a minimisé l'impact de ce sinistre, il apparait que la société venait de faire de nombreux investissement dans ce bâtiment et la production pourrait en être contrariée.
Economie
- Le Conseil de Surveillance du Commerce (CSC) tire le signal d'alarme
Régulièrement le CSC établie une liste des sociétés qui ne respectent pas les règles du commerce et du libre échange. Aujourd'hui, c'est au tour de Seb Girodo et de sa société Vince Company d'être pointé du doigt.
En effet, le CSC signale qu'un nombre important de contrat de baril(s) de pétrole aurait été établie à perte. Ceux-ci représentent un chiffre d'affaire de plusieurs milliers d'EuroJeu.
En aparté, le CSC explique que le dossier a été transmis aux services fiscaux qui ne devraient pas tarder à rédiger une amende salé au gérant indélicat!!!
- "Jeffrey Lebowski gaspille l'argent de la société"
C'est avec ces mots que Mme Dorsa Elsa, directrice des achats de la société Sihol Lithium, est sorti du conseil d'administration. "Nous pouvons faire de grosse économie, mais notre cher P.D.G. préfère importer à prix d'or les produits dont nous avons besoin !!! Je ne comprends pas la politique de la direction et, malheureusement, ce n'est pas la première fois que cela se produit."
Ce matin, ce sentiment était partagé par un grand nombre de salariés et l'ambiance de travail était maussade.
- Bonne nouvelle sur le marché de l'emploi
la société Motor Service a décidé de mettre en service une nouvelle usine de type "Conglomérat mécanique" dans la ville de Jérusalem.
Le marché n'est pas facile, mais la chance sourit aux audacieux !
Faits divers
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société S_conglo, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société S_conglo." a déclaré Seb Sebra, P.D.G. de la société.
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Rebirth, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Rebirth." a déclaré Gregory Campion, P.D.G. de la société.
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société Rebirth. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Gregory Campion, le PDG de la société.
- Grosse frayeur dans les locaux de la société S_prodimmo !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Terrieur Alain de la société S_prodimmo a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Seb Sebra, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Festival pyrotechnique dans les locaux de la société Rebirth !
La société Rebirth nous a offert un magnifique feu d'artifice dans son usine. A priori , rien d'exceptionnel, sauf que ce spectacle nous a été offert à partir de la combustion volontaire d'un vieux stock d'outil de production. Les syndicats dénoncent les jeux puérils auxquels se livrent Gregory Campion, qui ferait mieux, selon eux, "de chercher à vendre sa camelote plutôt que de jouer avec le feu".
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société S_prodimmo. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Seb Sebra, le PDG de la société.
- La société S_prodimmo fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société S_prodimmo a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Seb Sebra, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société S_prodimmo. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Seb Sebra, le PDG de la société.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Steel Lux s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Onxa Cécile, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Benj Ulukai, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Un concert qui finit mal !
Le concert des New Hunkies (groupe de trash metal très en vogue actuellement) avait bien commencé. Hélas, vers 23 heures, une panne électrique a plongé la salle de concert dans l'obscurité, privant les fans du groupe de ce moment qu'ils voulaient inoubliable.
Et là, une bagarre généralisée a éclaté, ce qui a un début d'incendie dans la salle de concert !
Le temps que les secours soient prévenus et que les pompiers arrivent, l'incendie s'est propagé au bâtiment voisin occupé par la société Steel Lux.
Bilan, quelques blessures légères du coté des spectateurs, une partie de la salle de spectacle est détruite, et des dégats matériels du coté de la société Steel Lux.
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Benj Ulukai. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société Epi D Or."
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Benj Ulukai. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société Steel Eco."
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Vincent K. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société Vince Chemicals."
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société Oliquid, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Nement Edgar dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Taitik Inès, bibliothécaire de la société Poilux Plastic, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Vincent K, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- La société Poilux Plastic fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société Poilux Plastic a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Vincent K, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Greux Nadine, bibliothécaire de la société Poilux Plastic, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Vincent K, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Engrais Du Rhin Corporation s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Tatianapas Tatiana, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Vincent K, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Vincent K, P.D.G. de la société Les Tanneries De Darracq, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- La société Pirates Business fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société Pirates Business a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Seb Girodo, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Rdu R&b !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Attan Charles de la société Rdu R&b a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Herve Des Ursins, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Ature Phil, employé de la société Les Bûcherons Des Moneghetti a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Herve Des Ursins, le PDG de la société.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Les Bûcherons Des Moneghetti s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Thaume Emma, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Herve Des Ursins, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- La société Bp-petrole fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société Bp-petrole a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
John Bois, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Dibul Armand, employé de la société Bp-petrole a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé John Bois, le PDG de la société.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Jeffrey Lebowski, P.D.G. de la société Gro Water, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Les Vignobles Lc, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Les Vignobles Lc." a déclaré Aurelien Lejeune, P.D.G. de la société.
- Rions un peu !
Le PDG de la société L.A Immo Loc, Aurelien Lejeune avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Grosse frayeur dans les locaux de la société L.A Distribution !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Strueux Simon de la société L.A Distribution a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Aurelien Lejeune, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Aurelien Lejeune, P.D.G. de la société Mode Chic, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société Acme Kw Low Cost. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Julien B, le PDG de la société.
- Un concert qui finit mal !
Le concert des New Hunkies (groupe de trash metal très en vogue actuellement) avait bien commencé. Hélas, vers 23 heures, une panne électrique a plongé la salle de concert dans l'obscurité, privant les fans du groupe de ce moment qu'ils voulaient inoubliable.
Et là, une bagarre généralisée a éclaté, ce qui a un début d'incendie dans la salle de concert !
Le temps que les secours soient prévenus et que les pompiers arrivent, l'incendie s'est propagé au bâtiment voisin occupé par la société Acme Kw Low Cost.
Bilan, quelques blessures légères du coté des spectateurs, une partie de la salle de spectacle est détruite, et des dégats matériels du coté de la société Acme Kw Low Cost.
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société Acme Immo, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Ptipeu Justin dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Tim Vincent, employé de la société Acme Déchet Low Cost a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Julien B, le PDG de la société.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Acme Déchet Low Cost s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Micoton Mylène, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Julien B, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Ptipeu Justin, employé de la société T.M. Voltage a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Tristan Mavuba, le PDG de la société.
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Sihol Lithium !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Tim Vincent de la société Sihol Lithium a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Jeffrey Lebowski, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Vince Petroleum s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Nikravatt Nicole, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Khassandre Larose, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Julien B, P.D.G. de la société Tracteur Rouillé, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Julien B, P.D.G. de la société Tracteur Rouillé, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Rions un peu !
Le PDG de la société Low Cost, Julien B avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
Liquidations & Faillites
- Une société s'éteint
Sans surprise, les salariés de la société Bp-fuel ont appris leur licenciement et la fermeture de leur usine.
"On a vu le carnet de commande s'éclaircir de jour en jour. Nous sommes bien conscient que le marché sur lequel nous avons bati notre business plan s'est dégradé et n'est plus compatible avec notre société. La décision qu'a prise notre P.D.G., Julien B, est sage car il vaut mieux que l'on arrète avec un plan social bien étudié, plutot que d'attendre et nous enfermer dans une lutte sociale qui n'apportera rien à personne." a déclaré un syndicaliste sur place.
Social
- Les syndicats appellent à la grêve !
C'est avec une énorme surprise que les employés de la société T.M. Ore ont appris la nouvelle : un plan social pour près de 50 employés.
Aussitôt, les organisations syndicales se sont réunies et ont lancé un préavis de grêve.
- Un nouveau plan social pour la société J.V. Holding
Une fois encore, ce sont les salariés qui payent la morosité économique qui sévit actuellement. Les syndicats, réunis en session extraordinaire, appellent à une grêve illimitée.
- Les employés ont appris la nouvelle par la presse !
C'est hier matin que Mme Varien Hillari a appris la nouvelle en lisant la presse locale : la société Tracteur Flambeur licencie et elle fait partie du lot ! "C'est inadmissible d'apprendre une telle nouvelle comme ça. Qu'est-ce que je vais faire maintenant à 52 ans, qui va m'employer ?"
Julien B, P.D.G. de la société, a annoncé : "La situation économique de la société ne peut nous permettre de garder tout ce personnel. Il en va de la survie de toute la société. J'ai déjà pris des dispositions pour que le personnel licencié retrouve rapidement du travail auprès de nos clients, fournisseurs et sous-traitants." Nous espérons que ce soit effectivement le cas.
- "DEHORS !!!"
C'est par ces mots que Tristan Mavuba a remercié 50 salariés de sa société (T.M. Beers And Bread) pour leur contribution aux résultats.
Ils ont donc été prié de quitter les lieux avant midi et d'emporter tous leurs effets personnels.
Les syndicats, choqués, ont signalé qu'ils ne resteraient pas sans réagir.
- Triste sort
Ambiance tendue hier soir dans les locaux de la société T.M. Voltage, la direction ayant auparavant annoncée 20 licenciements, les syndicats se sont emparés de l'affaire. Tristan Mavuba aurait déclaré "Les affaires vont mal en ce moment, c'est avec regret que j'ai décidé le licenciement de 20 employés. J'espère pouvoir redresser rapidement la situation grâce cette décision qui ne me fait pas plaisir."
Les syndicats ont prévenus que le plan social prévu ne prévoyait aucun reclassement pour les salariés. Ils porteront l'affaire prochainement devant les tribunaux.
- Nouvelle vague de licenciements !
Une nouvelle vague de licenciement touche la société T.M. Voltage, où Tristan Mavuba vient d'annoncer un plan de restructuration visant à rationaliser la production de la société. 20 personnes sont désormais disponibles sur le marché du travail.
Comptant sur la conjoncture économique favorable de la région, la municipalité signale que ces personnes devraient rapidement retrouver du travail.
- Démission du chef des travaux de la société Pirates Business
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Yotine Guy, chef des travaux de la société Pirates Business, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- "DEHORS !!!"
C'est par ces mots que Tristan Mavuba a remercié 5 salariés de sa société (T.M. Voltage) pour leur contribution aux résultats.
Ils ont donc été prié de quitter les lieux avant midi et d'emporter tous leurs effets personnels.
Les syndicats, choqués, ont signalé qu'ils ne resteraient pas sans réagir.
- "DEHORS !!!"
C'est par ces mots que Tristan Mavuba a remercié 20 salariés de sa société (T.M. Voltage) pour leur contribution aux résultats.
Ils ont donc été prié de quitter les lieux avant midi et d'emporter tous leurs effets personnels.
Les syndicats, choqués, ont signalé qu'ils ne resteraient pas sans réagir.
- Nouvelle vague de licenciements !
Une nouvelle vague de licenciement touche la société Acme Immo, où Julien B vient d'annoncer un plan de restructuration visant à rationaliser la production de la société. 48 personnes sont désormais disponibles sur le marché du travail.
Comptant sur la conjoncture économique favorable de la région, la municipalité signale que ces personnes devraient rapidement retrouver du travail.
- Démission du chef des travaux de la société S_prodimmo
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Assin Marc, chef des travaux de la société S_prodimmo, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
Sport
- Le championnat du monde de bridge annulé
Hier soir, un violent incendie s'est déclaré dans les locaux de la société L.A Immo Loc sponsor et organisatrice du championnat du monde de bridge.
Ce matin, Aurelien Lejeune, P.D.G. de la société, a déclaré :"Les dégats sont importants et remettent en cause l'organisation et le bon déroulement de ce championnat. Aussi, la fédération mondiale de bridge a décidé d'annulé l'édition du championnat de cette année." La réparation des locaux, prise en charge en partie par les assurances, devrait se faire rapidement.
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