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Voici les nouvelles du 30/12/2024.
Bourse
- La Bourse frileuse
La Bourse s'attend à une chute du titre de la société Pirates Factory. En effet, hier soir, un incendie provoqué par des sans-abris s'est propagé au bâtiment de la société.
Si Seb Girodo, P.D.G. de la société, a voulu rassuré les investisseurs et a minimisé l'impact de ce sinistre, il apparait que la société venait de faire de nombreux investissement dans ce bâtiment et la production pourrait en être contrariée.
Bulletin Officiel
- Election des Membres du Conseils
L'élection des Membres du Conseil débute aujourd'hui et durera 10 jours. Chaque votant doit choisir une personne parmis la liste des candidats suivante Seb Sebra, Jean Gabin, Laurent Lolopx87.
Economie
- Bonne nouvelle sur le marché de l'emploi
la société Socmach a décidé de mettre en service une nouvelle usine de type "Exploitation pétrolière" dans la ville de Prague.
Le marché n'est pas facile, mais la chance sourit aux audacieux !
- Brazzaville recherche activement 2,355 chariot(s) de desserts variés
Par la voix de Seb Sebra, Brazzaville vient de lancer un appel d'offre public pour 2,355 chariot(s) de desserts variés. Les candidats qui souhaitent participer sont priés de respecter le code de marché public en vigueur. Par ailleurs, la commission des marchés a fait savoir que les offres privilégiant les jeunes entreprises auront un avantage certain.
- Une nouvelle activité dans notre ville
La société Sihol Location vient d'implanter ses locaux dans la ville de Niamey et son activité est "Constructeur immobilier". "Nous comptons sur un développement de 20% du marché dans cette région pour la première année." a déclaré hier le P.D.G. de la société.
- L'emploi avance
On en parlait depuis longtemps, c'est désormais officiel ! La société Waiwai O Viriville vient d'inaugurer une usine de type "Constructeur immobilier" à Mogadiscio ! Les milieux financiers saluent cette implantation plutôt bienvenue dans l'environnement actuel.
- Bonne nouvelle sur le marché de l'emploi
la société Les Bûcherons Des Moneghetti a décidé de mettre en service une nouvelle usine de type "Imprimerie administrative" dans la ville de Amman.
Le marché n'est pas facile, mais la chance sourit aux audacieux !
- L'emploi avance
On en parlait depuis longtemps, c'est désormais officiel ! La société Les Bûcherons Des Moneghetti vient d'inaugurer une usine de type "Imprimerie administrative" à Prague ! Les milieux financiers saluent cette implantation plutôt bienvenue dans l'environnement actuel.
- La justice doit passer !
Il est inadmissible que des importations sauvages ruinent notre pays et cassent notre patrimoine industriel."
M. Ptipeu Justin, vice-président de la Chambre de Commerce, ne décolère pas depuis deux jours. En fait, depuis que le magasinier de la société Oresto a affiché sur les murs de la ville les bordereaux de livraison de ces marchandises d'outre-mer. En effet, c'est autant qui échappe au commerce local et par conséquence à l'éconmomie et aux emplois de la région !
Une manifestation est prévue ce matin pour refuser ces pratiques d'un autre age et Laurent Lolopx87 risque le goudron et les plumes s'il est aperçu dans les parrages.
- Des créations d'emplois en perspective
La société Negoss'Tout Productions vient d'inaugurer une nouvelle structure dans la municipalité de Oslo dont l'activité est Exploitation forestière."Cette nouvelle usine va nous permettre d'accroitre notre compétitivité et d'accéder à de nouveaux marchés sur le plan mondial." a déclaré le P.D.G. de la société.
- L'emploi avance
On en parlait depuis longtemps, c'est désormais officiel ! La société Negoss'Tout Productions vient d'inaugurer une usine de type "Exploitation forestière" à St Petersbourg ! Les milieux financiers saluent cette implantation plutôt bienvenue dans l'environnement actuel.
- Bonne nouvelle sur le marché de l'emploi
la société Negoss'Tout Productions a décidé de mettre en service une nouvelle usine de type "Exploitation minière" dans la ville de Barquisimeto.
Le marché n'est pas facile, mais la chance sourit aux audacieux !
- Le contrat aurait pu passer inaperçu
C'est un excès de zèle d'un employé de la société Rdu E Amichi Distribution qui a permis de découvrir la combine : Herve Des Ursins, dirigeant de la société, établi des contrats à perte !!!
Il faut savoir que cette pratique est totalement illégale et est sévèrement punie par le Conseil de Surveillance du Commerce (CSC). Aussi, le risque pour la société Rdu E Amichi Distribution est important et les employés commencent à douter des qualités de gestionnaire de leur patron.
- "Notre P.D.G. nous mène droit au mur !"
C'est avec ces mots que M. Samob Yvan, cadre de la société Gro Enterprises, a convoqué la presse.
En effet, c'est en parcourant les comptes de la société qu'il a découvert une série de ventes à perte pour des contrats de hectolitre(s) d'eau. Il est clair que cette situation n'échappera pas aux agents du législateur, et la société Gro Enterprises risque une lourde amende.
- Le contrat aurait pu passer inaperçu
C'est un excès de zèle d'un employé de la société Negoss'Tout qui a permis de découvrir la combine : Julien B, dirigeant de la société, établi des contrats à perte !!!
Il faut savoir que cette pratique est totalement illégale et est sévèrement punie par le Conseil de Surveillance du Commerce (CSC). Aussi, le risque pour la société Negoss'Tout est important et les employés commencent à douter des qualités de gestionnaire de leur patron.
- Qui aurait oublié les soldes ?
La période des soldes, propices aux réductions et aux bonnes affaires vient de débuter aujourd'hui.
Comme chaque fois, cette semaine de grande réduction devrait permettre de relancer une économie moribonde qui peinait à trouver des consommateurs.
La précédente période de soldes avait permis de générer un chiffre d'affaire de plusieurs millions d'EuroJeu. Gageons que cette nouvelle période voit un chiffre aussi important.
- Tools Corporation est en difficulté ?
On apprend que la société Tools Corporation n'aurait pas les moyens de payer les salaires de certains cadres du siège social. Plusieurs gros salaires seraient concernés dont celui du P.D.G., Tac Tac. Ce dernier, interrogé hier soir, ne s'est livré à aucun commentaire.
Faits divers
- Festival pyrotechnique dans les locaux de la société Acme Énergie !
La société Acme Énergie nous a offert un magnifique feu d'artifice dans son usine. A priori , rien d'exceptionnel, sauf que ce spectacle nous a été offert à partir de la combustion volontaire d'un vieux stock d'outil de production. Les syndicats dénoncent les jeux puérils auxquels se livrent Julien B, qui ferait mieux, selon eux, "de chercher à vendre sa camelote plutôt que de jouer avec le feu".
- Festival pyrotechnique dans les locaux de la société Oresto !
La société Oresto nous a offert un magnifique feu d'artifice dans son usine. A priori , rien d'exceptionnel, sauf que ce spectacle nous a été offert à partir de la combustion volontaire d'un vieux stock d'outil de production. Les syndicats dénoncent les jeux puérils auxquels se livrent Laurent Lolopx87, qui ferait mieux, selon eux, "de chercher à vendre sa camelote plutôt que de jouer avec le feu".
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Acme Immo, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Acme Immo." a déclaré Julien B, P.D.G. de la société.
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Acme Immo, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Acme Immo." a déclaré Julien B, P.D.G. de la société.
- La catastrophe a été évitée de peu...
"Ce qui arrive est normal, les outils utilisés n'ont jamais été changés." a déclaré Mme Tatianapas Tatiana, employée de la société Rdu R&b Lc.
Hier dans l'après-midi, un incendie c'est déclaré dans l'atelier de production de la société. Immédiatement, le feu s'est propagé à des bureaux voisins et le reste du bâtiment ne doit son salut qu'à l'intervention rapide des pompiers.
"Nous allons rapidement réparé les dégats et nous remettre au travail." a déclaré simplement Elijah Baley, P.D.G. de la société, aux journalistes présents sur les lieux.
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Vincent K. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société Vince Tires."
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Benj Ulukai, P.D.G. de la société Veau D Or, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- La société Veau D Or fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société Veau D Or a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Benj Ulukai, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Daprélat Maxime, employé de la société Veau D Or a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Benj Ulukai, le PDG de la société.
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Epi D Argent !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Yotine Guy de la société Epi D Argent a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Benj Ulukai, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Dorsa Elsa, bibliothécaire de la société Acme Déchets, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Julien B, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Pirates Factory !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Samob Yvan de la société Pirates Factory a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Seb Girodo, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- La société Rdu R&b fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société Rdu R&b a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Elijah Baley, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Gro Enterprises s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Diossi Daisy, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Jeffrey Lebowski, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Gro Enterprises, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Gro Enterprises." a déclaré Jeffrey Lebowski, P.D.G. de la société.
- La catastrophe a été évitée de peu...
"Ce qui arrive est normal, les outils utilisés n'ont jamais été changés." a déclaré Mme Tatianapas Tatiana, employée de la société S_prodimmo.
Hier dans l'après-midi, un incendie c'est déclaré dans l'atelier de production de la société. Immédiatement, le feu s'est propagé à des bureaux voisins et le reste du bâtiment ne doit son salut qu'à l'intervention rapide des pompiers.
"Nous allons rapidement réparé les dégats et nous remettre au travail." a déclaré simplement Seb Sebra, P.D.G. de la société, aux journalistes présents sur les lieux.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société S_matos s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Dorsa Elsa, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Seb Sebra, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Seb Sebra, P.D.G. de la société S_matos, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société S_matos, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Alapate Phil dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Daprélat Maxime, employé de la société S_matos a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Seb Sebra, le PDG de la société.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société T.M. Mixgrill s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Zepower Agathe, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Tristan Mavuba, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Rions un peu !
Le PDG de la société Low Cost, Julien B avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société L.A Prod Lc s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Vrante Hélèna, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Aurelien Lejeune, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Aurelien Lejeune. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société L.A Prod Lc."
- Rions un peu !
Le PDG de la société L.A Prod Lc, Aurelien Lejeune avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Nervé Aimée, employé de la société L.A Prod Lc a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Aurelien Lejeune, le PDG de la société.
- Rions un peu !
Le PDG de la société Soubois, Souri Kat avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Un concert qui finit mal !
Le concert des New Hunkies (groupe de trash metal très en vogue actuellement) avait bien commencé. Hélas, vers 23 heures, une panne électrique a plongé la salle de concert dans l'obscurité, privant les fans du groupe de ce moment qu'ils voulaient inoubliable.
Et là, une bagarre généralisée a éclaté, ce qui a un début d'incendie dans la salle de concert !
Le temps que les secours soient prévenus et que les pompiers arrivent, l'incendie s'est propagé au bâtiment voisin occupé par la société T.M. Beers And Bread.
Bilan, quelques blessures légères du coté des spectateurs, une partie de la salle de spectacle est détruite, et des dégats matériels du coté de la société T.M. Beers And Bread.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Nervé Aimée, employé de la société T.M. Beers And Bread a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Tristan Mavuba, le PDG de la société.
- Les syndicats avaient prévenu la direction
Hier soir, après les violents orages qui ont éclaté dans la journée, une partie du toit de l'usine de la société T.M. Billot s'est effondré, provoquant d'important dégat matériel.
"Cela fait des mois que nous avons prévenu la direction sur la nécessité de faire des travaux de consolidations de la charpente." a déclaré ce matin un délégué du personnel. "Les conditions de travail dans cette usine se dégradent de jours en jours. Il est normal que les outils de production et les locaux en patissent. On voit aujourd'hui le résultat de la politique de l'autruche que mène notre P.D.G. depuis trop longtemp."
Interrogé, Tristan Mavuba ne s'est livré à aucun commentaire.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Daibute Jean-Marc, employé de la société T.M. Billot a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Tristan Mavuba, le PDG de la société.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Engrais Du Rhin Corporation s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Vrante Hélèna, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Vincent K, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Yotine Guy, employé de la société L.A.C.I. a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Aurelien Lejeune, le PDG de la société.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Assin Marc, employé de la société L.A.C.I. a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Aurelien Lejeune, le PDG de la société.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société L.A.C.I. s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Fonfec Sophie, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Aurelien Lejeune, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société T.M. Ore, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société T.M. Ore." a déclaré Lucas Condizi, P.D.G. de la société.
- La société T.M. Ore fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société T.M. Ore a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Lucas Condizi, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- La catastrophe a été évitée de peu...
"Ce qui arrive est normal, les outils utilisés n'ont jamais été changés." a déclaré Mme Taitik Inès, employée de la société T.M. Ore.
Hier dans l'après-midi, un incendie c'est déclaré dans l'atelier de production de la société. Immédiatement, le feu s'est propagé à des bureaux voisins et le reste du bâtiment ne doit son salut qu'à l'intervention rapide des pompiers.
"Nous allons rapidement réparé les dégats et nous remettre au travail." a déclaré simplement Lucas Condizi, P.D.G. de la société, aux journalistes présents sur les lieux.
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Tracteur Flambeur !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Gérard Mansoif de la société Tracteur Flambeur a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Julien B, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Sihol Kukulu Hale et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Sihol Kukulu Hale. En effet, Ex Tipp, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Sihol Mat
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Ex Tipp, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- La chasse est ouverte
Les syndicats de la société Sihol Mat offrent une prime de 10 000 EurJeu pour la capture de Ex Tipp qui vient de s'enfuir avec la caisse et sans payer les salaires des employés. Avis aux amateurs de sensations fortes... et de prime !
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Tools Corporation et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Tools Corporation. En effet, Tac Tac, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Prise d'otage dans les locaux de la société Tools Corporation
Hier soir, Tac Tac et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Attan Charles, représentant du syndicat majoritaire.
- La chasse est ouverte
Les syndicats de la société Tools Corporation offrent une prime de 10 000 EurJeu pour la capture de Tac Tac qui vient de s'enfuir avec la caisse et sans payer les salaires des employés. Avis aux amateurs de sensations fortes... et de prime !
- Prise d'otage dans les locaux de la société Tools Corporation
Hier soir, Tac Tac et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Teufarci Thomas, représentant du syndicat majoritaire.
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Tools Corporation et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Tools Corporation. En effet, Tac Tac, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Tools Corporation
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Tac Tac, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Prise d'otage dans les locaux de la société Rebirth
Hier soir, Gregory Campion et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Terrieur Alex, représentant du syndicat majoritaire.
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Rebirth
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Gregory Campion, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Prise d'otage dans les locaux de la société Rebirth
Hier soir, Gregory Campion et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Terrieur Alex, représentant du syndicat majoritaire.
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Rebirth et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Rebirth. En effet, Gregory Campion, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Rebirth
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Gregory Campion, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Rebirth et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Rebirth. En effet, Gregory Campion, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Prise d'otage dans les locaux de la société Rebirth
Hier soir, Gregory Campion et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Daibute Jean-Marc, représentant du syndicat majoritaire.
- Prise d'otage dans les locaux de la société Rebirth
Hier soir, Gregory Campion et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Daprélat Maxime, représentant du syndicat majoritaire.
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Rebirth et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Rebirth. En effet, Gregory Campion, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Tacchri Corporation
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Tac Tac, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Tacchri Corporation et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Tacchri Corporation. En effet, Tac Tac, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Tacchri Corporation
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Tac Tac, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Prise d'otage dans les locaux de la société Human Corporation
Hier soir, Tac Tac et 2 autres membres de la direction ont été pris en otage par une vingtaine de salariés mécontent. "Il est inadmissible que le patronnat ne paie pas les salaires des employés. Aujourd'hui les patrons veulent délocaliser la production et mettre sur la paille des dizaines de famille.
Non à la dictature des patrons. Non à la délocalisation. Oui à l'emploi. Oui au travail dans notre région." a déclaré M. Mercédes Roland, représentant du syndicat majoritaire.
- Véritable scène de guerre civile au siège de la société Human Corporation
Des hordes de salariés tentent de pénétrer dans les bureaux verrouillés en brandissant des pancartes hostiles à la Direction. Puis, l'ambiance a dégénéré et ces des scènes de liesse générale qui a remplacé la manifestation. Il semble que ce soudain excès de violence soit dû au non-paiement des salaires par Tac Tac, P.D.G. de la société, qui reste injoignable pour le moment.
- Excès de précarité
"Bonjour m'ssieurs dames, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas un assassin, avant j'étais comme vous, mais il se trouve que je travaillais pour la société Human Corporation et que je n'ai pas mangé depuis 5 jours". On entend souvent cette phrase dans les villes où sont implantées les usines de la société Human Corporation. En effet, Tac Tac, son P.D.G., a décidé de ne pas payer ses salaires au motif saugrenu qu'il n'aurait plus d'argent.
Les syndicats étudient déjà les recours juridiques pour retrouver leur argent !
- L'altercation tourne à l'accident !
C'est en apprenant que son salaire ne serait pas versé qu'une altercation aurait éclaté entre Ex Tipp, patron de la société Sihol Mat, et M. Aihanvi Jean, comptable de la société. Excédé, ce dernier aurait quitté le siège social au volant de sa voiture de sport et c'est 3 kilomètres plus loin que l'accident est survenu.
Si le véhicule a été totalement détruit, l'employé s'en sort miraculeusement qu'avec des blessures légères.
- L'altercation tourne à l'accident !
C'est en apprenant que son salaire ne serait pas versé qu'une altercation aurait éclaté entre Tac Tac, patron de la société Tacchri Corporation, et M. Yotine Guy, comptable de la société. Excédé, ce dernier aurait quitté le siège social au volant de sa voiture de sport et c'est 3 kilomètres plus loin que l'accident est survenu.
Si le véhicule a été totalement détruit, l'employé s'en sort miraculeusement qu'avec des blessures légères.
Social
- Nouvelle vague de licenciements !
Une nouvelle vague de licenciement touche la société Acme Énergie, où Julien B vient d'annoncer un plan de restructuration visant à rationaliser la production de la société. 10 personnes sont désormais disponibles sur le marché du travail.
Comptant sur la conjoncture économique favorable de la région, la municipalité signale que ces personnes devraient rapidement retrouver du travail.
- Les syndicats appellent à la grêve !
C'est avec une énorme surprise que les employés de la société Acme Déchets ont appris la nouvelle : un plan social pour près de 5 employés.
Aussitôt, les organisations syndicales se sont réunies et ont lancé un préavis de grêve.
- Nouvelle vague de licenciements !
Une nouvelle vague de licenciement touche la société Acme Déchets, où Julien B vient d'annoncer un plan de restructuration visant à rationaliser la production de la société. 15 personnes sont désormais disponibles sur le marché du travail.
Comptant sur la conjoncture économique favorable de la région, la municipalité signale que ces personnes devraient rapidement retrouver du travail.
- "DEHORS !!!"
C'est par ces mots que Julien B a remercié 15 salariés de sa société (Acme Déchets) pour leur contribution aux résultats.
Ils ont donc été prié de quitter les lieux avant midi et d'emporter tous leurs effets personnels.
Les syndicats, choqués, ont signalé qu'ils ne resteraient pas sans réagir.
- Les employés ont appris la nouvelle par la presse !
C'est hier matin que Mme Enfaillite Mélusine a appris la nouvelle en lisant la presse locale : la société S_lc_systeme licencie et elle fait partie du lot ! "C'est inadmissible d'apprendre une telle nouvelle comme ça. Qu'est-ce que je vais faire maintenant à 52 ans, qui va m'employer ?"
Aurelien Lejeune, P.D.G. de la société, a annoncé : "La situation économique de la société ne peut nous permettre de garder tout ce personnel. Il en va de la survie de toute la société. J'ai déjà pris des dispositions pour que le personnel licencié retrouve rapidement du travail auprès de nos clients, fournisseurs et sous-traitants." Nous espérons que ce soit effectivement le cas.
- Les syndicats appellent à la grêve !
C'est avec une énorme surprise que les employés de la société S_lc_systeme ont appris la nouvelle : un plan social pour près de 200 employés.
Aussitôt, les organisations syndicales se sont réunies et ont lancé un préavis de grêve.
- Les syndicats appellent à la grêve !
C'est avec une énorme surprise que les employés de la société Oresto ont appris la nouvelle : un plan social pour près de 1 employés.
Aussitôt, les organisations syndicales se sont réunies et ont lancé un préavis de grêve.
- Démission du chef des travaux de la société Acme Énergie
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Dicul Thiery, chef des travaux de la société Acme Énergie, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Sihol Kukulu Hale s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Ex Tipp sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Sihol Kukulu Hale fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Ex Tipp est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Sihol Kukulu Hale. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Ex Tipp ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Tools Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Tools Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Tools Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Tools Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Tools Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Tools Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Tools Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Tools Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Tools Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Tools Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Tools Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Tools Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Rebirth s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Gregory Campion sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Rebirth fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Gregory Campion est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Rebirth. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Gregory Campion ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Rebirth s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Gregory Campion sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Rebirth fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Gregory Campion est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Rebirth. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Gregory Campion ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Tacchri Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Tacchri Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Tacchri Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Tacchri Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Tacchri Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Tacchri Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Tacchri Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Tacchri Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Tacchri Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Human Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Human Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Human Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- De grosses difficultés
Hier soir, dans un communiqué commun envoyé aux agences de presse, les syndicats de la société Human Corporation s'en sont ouvertement pris à leur dirigeant Tac Tac sur la façon de gérer la société. Extrait : "Une fois de plus, la société Human Corporation fait du profit sur le dos de ses salariés : les salaires n'ont pas été payé et ne le seront pas. La politique mené par Tac Tac est indigne d'un grand groupe industriel que veux être Human Corporation. La solution, c'est la porte !!!"
Interrogé, Tac Tac ne s'est livré a aucun commentaire.
- C'est inadmissible !!!
Les syndicats de la société Sihol Kukulu Hale se sont insurgés devant le niveau de rémunération de leur P.D.G.. "Alors qu'il y a des ouvriers qui gagne une misère, Ex Tipp, notre P.D.G. se permet de s'octroyer un salaire de 60258 EuroJeu. Je trouve ça : inadmissible !!!" a délcaré Mme Varien Hillari à la sortie de l'usine de la société.
Sport
- Le championnat du monde de bridge annulé
Hier soir, un violent incendie s'est déclaré dans les locaux de la société Oresto sponsor et organisatrice du championnat du monde de bridge.
Ce matin, Laurent Lolopx87, P.D.G. de la société, a déclaré :"Les dégats sont importants et remettent en cause l'organisation et le bon déroulement de ce championnat. Aussi, la fédération mondiale de bridge a décidé d'annulé l'édition du championnat de cette année." La réparation des locaux, prise en charge en partie par les assurances, devrait se faire rapidement.
- Le championnat du monde de bridge annulé
Hier soir, un violent incendie s'est déclaré dans les locaux de la société Oliquid sponsor et organisatrice du championnat du monde de bridge.
Ce matin, Vincent K, P.D.G. de la société, a déclaré :"Les dégats sont importants et remettent en cause l'organisation et le bon déroulement de ce championnat. Aussi, la fédération mondiale de bridge a décidé d'annulé l'édition du championnat de cette année." La réparation des locaux, prise en charge en partie par les assurances, devrait se faire rapidement.
- Le championnat du monde de bridge annulé
Hier soir, un violent incendie s'est déclaré dans les locaux de la société Boispro sponsor et organisatrice du championnat du monde de bridge.
Ce matin, Lucas Condizi, P.D.G. de la société, a déclaré :"Les dégats sont importants et remettent en cause l'organisation et le bon déroulement de ce championnat. Aussi, la fédération mondiale de bridge a décidé d'annulé l'édition du championnat de cette année." La réparation des locaux, prise en charge en partie par les assurances, devrait se faire rapidement.
- Le championnat du monde de bridge annulé
Hier soir, un violent incendie s'est déclaré dans les locaux de la société Rdu R&b sponsor et organisatrice du championnat du monde de bridge.
Ce matin, Elijah Baley, P.D.G. de la société, a déclaré :"Les dégats sont importants et remettent en cause l'organisation et le bon déroulement de ce championnat. Aussi, la fédération mondiale de bridge a décidé d'annulé l'édition du championnat de cette année." La réparation des locaux, prise en charge en partie par les assurances, devrait se faire rapidement.
- Le championnat du monde de bridge annulé
Hier soir, un violent incendie s'est déclaré dans les locaux de la société L.A Prod Lc sponsor et organisatrice du championnat du monde de bridge.
Ce matin, Aurelien Lejeune, P.D.G. de la société, a déclaré :"Les dégats sont importants et remettent en cause l'organisation et le bon déroulement de ce championnat. Aussi, la fédération mondiale de bridge a décidé d'annulé l'édition du championnat de cette année." La réparation des locaux, prise en charge en partie par les assurances, devrait se faire rapidement.
Version 3.10 / Page mise en cache le 18/01/2025 - 08:56:07.