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Voici les nouvelles du 28/03/2025.
Bourse
- Une nouvelle attendue
La société Macadam augmente ses dividendes ! Les actions de cette société étaient très recherchées ce matin à la bourse d'Industry et le titre devrait finir en forte hausse ces prochains jours. Il semblerait que le conseil des marchés financiers n'ait rien trouvé à redire sur cette décision, malgré les rumeurs persistantes de "fuites" qui auraient eu lieu récemment. Certains traders étaient-ils au courant ? Au siège de la société Macadam, on rappelle que de nombreuses tentatives de déstabilisation ont déjà eu lieu, et que "celle-ci ne sera pas la dernière".
En attendant, les actionnaires de la société Macadam qui avaient conservé leur titres sont désormais riches.
- La Bourse frileuse
La Bourse s'attend à une chute du titre de la société Socmach. En effet, hier soir, un incendie provoqué par des sans-abris s'est propagé au bâtiment de la société.
Si Souri Kat, P.D.G. de la société, a voulu rassuré les investisseurs et a minimisé l'impact de ce sinistre, il apparait que la société venait de faire de nombreux investissement dans ce bâtiment et la production pourrait en être contrariée.
Economie
- Benghazi lance un nouveau marché public
"Dans le cadre du renouvellement d'un certain nombre de bien d'équipement, la municipalité vient de lancer un appel d'offre portant sur 47 machine(s) à recycler. Dans ce contexte, les sociétés locales seront privilégiées ainsi que celle qui sous-traiteront une partie de l'activité à de petites P.M.E.. Bien entendu le code des marchés public nous impose de considérer toutes les candidatures, ce que nous feront bien entendu." a déclaré Jean Gabin à la sortie du Conseil.
- "Notre P.D.G. nous mène droit au mur !"
C'est avec ces mots que M. Teufarci Thomas, cadre de la société Mode Chic, a convoqué la presse.
En effet, c'est en parcourant les comptes de la société qu'il a découvert une série de ventes à perte pour des contrats de vêtement(s). Il est clair que cette situation n'échappera pas aux agents du législateur, et la société Mode Chic risque une lourde amende.
- La fédération des commerçants est scandalisée !
La société Les Bûcherons Des Moneghetti vend sa marchandise a perte ! "Les règles élémentaires du commerce sont bafouées. Herve Des Ursins ne respecte pas les lois du marché et la sanction sera lourde et exemplaire.
Je ne comprends pas la démarche du P.D.G. : ce type de fraude est parfaitement connu et les services des impôts vérifient scrupuleusement les contrats des sociétés." a déclaré M. Gator Ali a la sortie de la réunion mensuelle de la fédération des commerçants.
- Addis-Abeba recherche activement 255 moteur(s) électrique(s)
Par la voix de Jean Gabin, Addis-Abeba vient de lancer un appel d'offre public pour 255 moteur(s) électrique(s). Les candidats qui souhaitent participer sont priés de respecter le code de marché public en vigueur. Par ailleurs, la commission des marchés a fait savoir que les offres privilégiant les jeunes entreprises auront un avantage certain.
- Appel d'offre public
La municipalité de Tachkent, par la voix du Membre du Conseil Jean Gabin, vient de rendre public un appel d'offre qui porte sur 25 solution(s) enrichie(s) en molécules.
- Appel d'offre public
La municipalité de Denver, par la voix du Membre du Conseil Jean Gabin, vient de rendre public un appel d'offre qui porte sur 1,331 carton(s) de microprocesseurs.
- Des créations d'emplois en perspective
La société Obuone vient d'inaugurer une nouvelle structure dans la municipalité de Gaoxiong dont l'activité est Usine à outil alimentaire."Cette nouvelle usine va nous permettre d'accroitre notre compétitivité et d'accéder à de nouveaux marchés sur le plan mondial." a déclaré le P.D.G. de la société.
- Birmingham recherche activement 410 machine(s) électrique(s)
Par la voix de Jean Gabin, Birmingham vient de lancer un appel d'offre public pour 410 machine(s) électrique(s). Les candidats qui souhaitent participer sont priés de respecter le code de marché public en vigueur. Par ailleurs, la commission des marchés a fait savoir que les offres privilégiant les jeunes entreprises auront un avantage certain.
- Wyndham lance un nouveau marché public
"Dans le cadre du renouvellement d'un certain nombre de bien d'équipement, la municipalité vient de lancer un appel d'offre portant sur 131 machine(s) éléctronique(s). Dans ce contexte, les sociétés locales seront privilégiées ainsi que celle qui sous-traiteront une partie de l'activité à de petites P.M.E.. Bien entendu le code des marchés public nous impose de considérer toutes les candidatures, ce que nous feront bien entendu." a déclaré Jean Gabin à la sortie du Conseil.
- Karaganda lance un nouveau marché public
"Dans le cadre du renouvellement d'un certain nombre de bien d'équipement, la municipalité vient de lancer un appel d'offre portant sur 227 machine(s) thermique(s). Dans ce contexte, les sociétés locales seront privilégiées ainsi que celle qui sous-traiteront une partie de l'activité à de petites P.M.E.. Bien entendu le code des marchés public nous impose de considérer toutes les candidatures, ce que nous feront bien entendu." a déclaré Jean Gabin à la sortie du Conseil.
- Appel d'offre public
La municipalité de Nouméa, par la voix du Membre du Conseil Jean Gabin, vient de rendre public un appel d'offre qui porte sur 2,876 tonne(s) de minerai.
- Dodoma lance un nouveau marché public
"Dans le cadre du renouvellement d'un certain nombre de bien d'équipement, la municipalité vient de lancer un appel d'offre portant sur 304 meuble(s). Dans ce contexte, les sociétés locales seront privilégiées ainsi que celle qui sous-traiteront une partie de l'activité à de petites P.M.E.. Bien entendu le code des marchés public nous impose de considérer toutes les candidatures, ce que nous feront bien entendu." a déclaré Jean Gabin à la sortie du Conseil.
Faits divers
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Poilux Plastic !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Samob Yvan de la société Poilux Plastic a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Vincent K, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Jeffrey Lebowski. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société Gro Enterprises."
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Socmach s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Boitam Alice, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Souri Kat, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Socmach s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Zepower Agathe, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Souri Kat, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- La société Socmach fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société Socmach a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Souri Kat, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Souri Kat. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société Socmach."
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Souri Kat, P.D.G. de la société Socmach, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- La société Socmach fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société Socmach a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Souri Kat, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- Les syndicats avaient prévenu la direction
Hier soir, après les violents orages qui ont éclaté dans la journée, une partie du toit de l'usine de la société Socmach s'est effondré, provoquant d'important dégat matériel.
"Cela fait des mois que nous avons prévenu la direction sur la nécessité de faire des travaux de consolidations de la charpente." a déclaré ce matin un délégué du personnel. "Les conditions de travail dans cette usine se dégradent de jours en jours. Il est normal que les outils de production et les locaux en patissent. On voit aujourd'hui le résultat de la politique de l'autruche que mène notre P.D.G. depuis trop longtemp."
Interrogé, Souri Kat ne s'est livré à aucun commentaire.
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Souri Kat. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société Socmach."
- Les syndicats avaient prévenu la direction
Hier soir, après les violents orages qui ont éclaté dans la journée, une partie du toit de l'usine de la société Les Amis Du Maquis s'est effondré, provoquant d'important dégat matériel.
"Cela fait des mois que nous avons prévenu la direction sur la nécessité de faire des travaux de consolidations de la charpente." a déclaré ce matin un délégué du personnel. "Les conditions de travail dans cette usine se dégradent de jours en jours. Il est normal que les outils de production et les locaux en patissent. On voit aujourd'hui le résultat de la politique de l'autruche que mène notre P.D.G. depuis trop longtemp."
Interrogé, Jean Gabin ne s'est livré à aucun commentaire.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Yotine Guy, employé de la société Les Amis Du Maquis a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Jean Gabin, le PDG de la société.
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Alpha Wool, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Alpha Wool." a déclaré Justin Peu, P.D.G. de la société.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Terrieur Alain, employé de la société Epi D Or a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Benj Ulukai, le PDG de la société.
- La société Gro Enterprises fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société Gro Enterprises a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Jeffrey Lebowski, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Gro Enterprises, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Gro Enterprises." a déclaré Jeffrey Lebowski, P.D.G. de la société.
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Hultoux Jeanne, bibliothécaire de la société Gro Enterprises, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Jeffrey Lebowski, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- Les syndicats avaient prévenu la direction
Hier soir, après les violents orages qui ont éclaté dans la journée, une partie du toit de l'usine de la société Poilux Plastic s'est effondré, provoquant d'important dégat matériel.
"Cela fait des mois que nous avons prévenu la direction sur la nécessité de faire des travaux de consolidations de la charpente." a déclaré ce matin un délégué du personnel. "Les conditions de travail dans cette usine se dégradent de jours en jours. Il est normal que les outils de production et les locaux en patissent. On voit aujourd'hui le résultat de la politique de l'autruche que mène notre P.D.G. depuis trop longtemp."
Interrogé, Vincent K ne s'est livré à aucun commentaire.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Ptipeu Justin, employé de la société Poilux Plastic a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Vincent K, le PDG de la société.
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Julien B. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société Negoss'Tout Productions."
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Julien B, P.D.G. de la société Negoss'Tout Productions, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Un concert qui finit mal !
Le concert des New Hunkies (groupe de trash metal très en vogue actuellement) avait bien commencé. Hélas, vers 23 heures, une panne électrique a plongé la salle de concert dans l'obscurité, privant les fans du groupe de ce moment qu'ils voulaient inoubliable.
Et là, une bagarre généralisée a éclaté, ce qui a un début d'incendie dans la salle de concert !
Le temps que les secours soient prévenus et que les pompiers arrivent, l'incendie s'est propagé au bâtiment voisin occupé par la société Negoss'Tout Productions.
Bilan, quelques blessures légères du coté des spectateurs, une partie de la salle de spectacle est détruite, et des dégats matériels du coté de la société Negoss'Tout Productions.
- La catastrophe a été évitée de peu...
"Ce qui arrive est normal, les outils utilisés n'ont jamais été changés." a déclaré Mme Fonfec Sophie, employée de la société Negoss'Tout Productions.
Hier dans l'après-midi, un incendie c'est déclaré dans l'atelier de production de la société. Immédiatement, le feu s'est propagé à des bureaux voisins et le reste du bâtiment ne doit son salut qu'à l'intervention rapide des pompiers.
"Nous allons rapidement réparé les dégats et nous remettre au travail." a déclaré simplement Julien B, P.D.G. de la société, aux journalistes présents sur les lieux.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Engrais Du Rhin Corporation s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Chaite Barbie, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Vincent K, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société Engrais Du Rhin Corporation, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Dibul Armand dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société Engrais Du Rhin Corporation. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Vincent K, le PDG de la société.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Vincent K, P.D.G. de la société Les Tanneries De Darracq, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Festival pyrotechnique dans les locaux de la société Labouchée !
La société Labouchée nous a offert un magnifique feu d'artifice dans son usine. A priori , rien d'exceptionnel, sauf que ce spectacle nous a été offert à partir de la combustion volontaire d'un vieux stock d'outil de production. Les syndicats dénoncent les jeux puérils auxquels se livrent Benj Ulukai, qui ferait mieux, selon eux, "de chercher à vendre sa camelote plutôt que de jouer avec le feu".
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Terra Charbon + s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Culaire Lorie, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Benj Ulukai, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Rions un peu !
Le PDG de la société Cotton Style, Benj Ulukai avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Rions un peu !
Le PDG de la société Tracteur Flambeur, Julien B avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société Tracteur Flambeur. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Julien B, le PDG de la société.
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Diossi Daisy, bibliothécaire de la société Tracteur Flambeur, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Julien B, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Rdu R&b !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Attan Charles de la société Rdu R&b a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Elijah Baley, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Les Amis De La Méditerranée s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Micoton Mylène, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Jean Gabin, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Acme Énergie, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Acme Énergie." a déclaré Julien B, P.D.G. de la société.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Julien B, P.D.G. de la société Acme Énergie, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- La catastrophe a été évitée de peu...
"Ce qui arrive est normal, les outils utilisés n'ont jamais été changés." a déclaré Mme Diossi Daisy, employée de la société Acme Énergie.
Hier dans l'après-midi, un incendie c'est déclaré dans l'atelier de production de la société. Immédiatement, le feu s'est propagé à des bureaux voisins et le reste du bâtiment ne doit son salut qu'à l'intervention rapide des pompiers.
"Nous allons rapidement réparé les dégats et nous remettre au travail." a déclaré simplement Julien B, P.D.G. de la société, aux journalistes présents sur les lieux.
- Rions un peu !
Le PDG de la société Les Bûcherons Du Rocher, Herve Des Ursins avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Dibul Armand, employé de la société Vince Chemicals a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Vincent K, le PDG de la société.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Vincent K, P.D.G. de la société Vince Chemicals, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société Vince Chemicals. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Vincent K, le PDG de la société.
- La catastrophe a été évitée de peu...
"Ce qui arrive est normal, les outils utilisés n'ont jamais été changés." a déclaré Mme Greux Nadine, employée de la société Oresto.
Hier dans l'après-midi, un incendie c'est déclaré dans l'atelier de production de la société. Immédiatement, le feu s'est propagé à des bureaux voisins et le reste du bâtiment ne doit son salut qu'à l'intervention rapide des pompiers.
"Nous allons rapidement réparé les dégats et nous remettre au travail." a déclaré simplement Laurent Lolopx87, P.D.G. de la société, aux journalistes présents sur les lieux.
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Oresto !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Diote Kelly de la société Oresto a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Laurent Lolopx87, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- La catastrophe a été évitée de peu...
"Ce qui arrive est normal, les outils utilisés n'ont jamais été changés." a déclaré Mme Risée Paula, employée de la société Oresto.
Hier dans l'après-midi, un incendie c'est déclaré dans l'atelier de production de la société. Immédiatement, le feu s'est propagé à des bureaux voisins et le reste du bâtiment ne doit son salut qu'à l'intervention rapide des pompiers.
"Nous allons rapidement réparé les dégats et nous remettre au travail." a déclaré simplement Laurent Lolopx87, P.D.G. de la société, aux journalistes présents sur les lieux.
- Rions un peu !
Le PDG de la société Acme Immo, Julien B avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Les syndicats avaient prévenu la direction
Hier soir, après les violents orages qui ont éclaté dans la journée, une partie du toit de l'usine de la société Acme Immo s'est effondré, provoquant d'important dégat matériel.
"Cela fait des mois que nous avons prévenu la direction sur la nécessité de faire des travaux de consolidations de la charpente." a déclaré ce matin un délégué du personnel. "Les conditions de travail dans cette usine se dégradent de jours en jours. Il est normal que les outils de production et les locaux en patissent. On voit aujourd'hui le résultat de la politique de l'autruche que mène notre P.D.G. depuis trop longtemp."
Interrogé, Julien B ne s'est livré à aucun commentaire.
- Les syndicats avaient prévenu la direction
Hier soir, après les violents orages qui ont éclaté dans la journée, une partie du toit de l'usine de la société Acme Immo s'est effondré, provoquant d'important dégat matériel.
"Cela fait des mois que nous avons prévenu la direction sur la nécessité de faire des travaux de consolidations de la charpente." a déclaré ce matin un délégué du personnel. "Les conditions de travail dans cette usine se dégradent de jours en jours. Il est normal que les outils de production et les locaux en patissent. On voit aujourd'hui le résultat de la politique de l'autruche que mène notre P.D.G. depuis trop longtemp."
Interrogé, Julien B ne s'est livré à aucun commentaire.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Julien B, P.D.G. de la société Acme Immo, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Tim Vincent, employé de la société Acme Immo a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Julien B, le PDG de la société.
- Rions un peu !
Le PDG de la société Rdu R&b, Elijah Baley avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Titland Steel, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Titland Steel." a déclaré Thierry Titi, P.D.G. de la société.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Thierry Titi, P.D.G. de la société Titland Steel, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Rions un peu !
Le PDG de la société Aliorine, Chris T avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Les syndicats avaient prévenu la direction
Hier soir, après les violents orages qui ont éclaté dans la journée, une partie du toit de l'usine de la société Boispro s'est effondré, provoquant d'important dégat matériel.
"Cela fait des mois que nous avons prévenu la direction sur la nécessité de faire des travaux de consolidations de la charpente." a déclaré ce matin un délégué du personnel. "Les conditions de travail dans cette usine se dégradent de jours en jours. Il est normal que les outils de production et les locaux en patissent. On voit aujourd'hui le résultat de la politique de l'autruche que mène notre P.D.G. depuis trop longtemp."
Interrogé, Lucas Condizi ne s'est livré à aucun commentaire.
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Culaire Lorie, bibliothécaire de la société Veau D Or, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Benj Ulukai, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- La société Veau D Or fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société Veau D Or a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Benj Ulukai, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- Rions un peu !
Le PDG de la société Vince Tires, Vincent K avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- La catastrophe a été évitée de peu...
"Ce qui arrive est normal, les outils utilisés n'ont jamais été changés." a déclaré Mme Dorsa Elsa, employée de la société Les Amis Du Boucher.
Hier dans l'après-midi, un incendie c'est déclaré dans l'atelier de production de la société. Immédiatement, le feu s'est propagé à des bureaux voisins et le reste du bâtiment ne doit son salut qu'à l'intervention rapide des pompiers.
"Nous allons rapidement réparé les dégats et nous remettre au travail." a déclaré simplement Jean Gabin, P.D.G. de la société, aux journalistes présents sur les lieux.
- La société Les Amis Du Boucher fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société Les Amis Du Boucher a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Jean Gabin, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société Acme Immo. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Julien B, le PDG de la société.
Liquidations & Faillites
- La faillite est prononcée pour la société T.M. Canfreeze
Suite à la liquidation, le nouvel administrateur, qui succédait à Tristan Mavuba, n'a pas pu redresser la barre et la faillite a été prononcée hier dans l'après-midi. Les salariés ont accueilli la nouvelle avec désaroi et les syndicats indiquaient qu'ils allaient engager des poursuites contre l'ancien gérant.
- Rien pour les ex-salariés !!!
M. Dicul Thiery est sorti du palais de Justice en hurlant !
Cet ex-salarié de la société Pro Des Stocks a fait toute sa carrière dans la société auprès de son ami d'enfance : Tristan Mavuba. Et aujourd'hui, à l'heure du bilan, il apparaît qu'il ne reste rien dans les caisses. "Notre patron s'est foutu de nous. Nous n'avons plus rien. Certains, comme moi, sont ruinés. Et le pire, c'est qu'aujourd'hui, il ne me reste que mes yeux pour pleurer." a t'il déclaré à la presse
- Rien pour les ex-salariés !!!
M. Ptipeu Justin est sorti du palais de Justice en hurlant !
Cet ex-salarié de la société T.M. Mixgrill a fait toute sa carrière dans la société auprès de son ami d'enfance : Tristan Mavuba. Et aujourd'hui, à l'heure du bilan, il apparaît qu'il ne reste rien dans les caisses. "Notre patron s'est foutu de nous. Nous n'avons plus rien. Certains, comme moi, sont ruinés. Et le pire, c'est qu'aujourd'hui, il ne me reste que mes yeux pour pleurer." a t'il déclaré à la presse
- Rien pour les ex-salariés !!!
M. Mercédes Roland est sorti du palais de Justice en hurlant !
Cet ex-salarié de la société T.M. Curcuma a fait toute sa carrière dans la société auprès de son ami d'enfance : Tristan Mavuba. Et aujourd'hui, à l'heure du bilan, il apparaît qu'il ne reste rien dans les caisses. "Notre patron s'est foutu de nous. Nous n'avons plus rien. Certains, comme moi, sont ruinés. Et le pire, c'est qu'aujourd'hui, il ne me reste que mes yeux pour pleurer." a t'il déclaré à la presse
- La faillite est prononcée pour la société T.M. Traiteur Reception
Suite à la liquidation, le nouvel administrateur, qui succédait à Tristan Mavuba, n'a pas pu redresser la barre et la faillite a été prononcée hier dans l'après-midi. Les salariés ont accueilli la nouvelle avec désaroi et les syndicats indiquaient qu'ils allaient engager des poursuites contre l'ancien gérant.
Social
- "DEHORS !!!"
C'est par ces mots que Julien B a remercié 2 salariés de sa société (Acme Immo) pour leur contribution aux résultats.
Ils ont donc été prié de quitter les lieux avant midi et d'emporter tous leurs effets personnels.
Les syndicats, choqués, ont signalé qu'ils ne resteraient pas sans réagir.
- Mexico voit son bassin industriel s'étendre
Notre société vient étendre son activité dans cette région (Raffinerie ndlr). Les avantages que nous procurent la municipalité et la région vont nous permettre de développer rapidement notre marché." a déclaré hier le P.D.G. de la société.
- Démission du chef des travaux de la société Tracteur Flambeur
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Nervé Aimée, chef des travaux de la société Tracteur Flambeur, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- Mexico voit son bassin industriel s'étendre
Notre société vient étendre son activité dans cette région (Exploitation pétrolière ndlr). Les avantages que nous procurent la municipalité et la région vont nous permettre de développer rapidement notre marché." a déclaré hier le P.D.G. de la société.
- Démission du chef des travaux de la société Alpha Wool
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Dicul Thiery, chef des travaux de la société Alpha Wool, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- "DEHORS !!!"
C'est par ces mots que Chris T a remercié 28 salariés de sa société (Gros Commerçant) pour leur contribution aux résultats.
Ils ont donc été prié de quitter les lieux avant midi et d'emporter tous leurs effets personnels.
Les syndicats, choqués, ont signalé qu'ils ne resteraient pas sans réagir.
- Démission du chef des travaux de la société Poilux Plastic
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Dicul Thiery, chef des travaux de la société Poilux Plastic, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
Sport
- Le championnat du monde de bridge annulé
Hier soir, un violent incendie s'est déclaré dans les locaux de la société Socmach sponsor et organisatrice du championnat du monde de bridge.
Ce matin, Souri Kat, P.D.G. de la société, a déclaré :"Les dégats sont importants et remettent en cause l'organisation et le bon déroulement de ce championnat. Aussi, la fédération mondiale de bridge a décidé d'annulé l'édition du championnat de cette année." La réparation des locaux, prise en charge en partie par les assurances, devrait se faire rapidement.
Version 3.10 / Page mise en cache le 02/04/2025 - 03:06:36.