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Voici les nouvelles du 22/04/2025.
Bourse
- La Bourse frileuse
La Bourse s'attend à une chute du titre de la société Veau D Or. En effet, hier soir, un incendie provoqué par des sans-abris s'est propagé au bâtiment de la société.
Si Benj Ulukai, P.D.G. de la société, a voulu rassuré les investisseurs et a minimisé l'impact de ce sinistre, il apparait que la société venait de faire de nombreux investissement dans ce bâtiment et la production pourrait en être contrariée.
- La Bourse frileuse
La Bourse s'attend à une chute du titre de la société Alpha Wool. En effet, hier soir, un incendie provoqué par des sans-abris s'est propagé au bâtiment de la société.
Si Justin Peu, P.D.G. de la société, a voulu rassuré les investisseurs et a minimisé l'impact de ce sinistre, il apparait que la société venait de faire de nombreux investissement dans ce bâtiment et la production pourrait en être contrariée.
- La Bourse frileuse
La Bourse s'attend à une chute du titre de la société Negoss'Tout Productions. En effet, hier soir, un incendie provoqué par des sans-abris s'est propagé au bâtiment de la société.
Si Julien B, P.D.G. de la société, a voulu rassuré les investisseurs et a minimisé l'impact de ce sinistre, il apparait que la société venait de faire de nombreux investissement dans ce bâtiment et la production pourrait en être contrariée.
Economie
- Inadmissible !!!
Cette fois c'est la société Negoss'Tout Productions qui sera la cible des prochains contrôles fiscaux. Nous apprenons aujourd'hui que 400 metre(s) carré(s) de parquet ont changés de mains grâce à des contrats frauduleux.
Julien B aurait répondu à la presse locale "Je ne me suis rendu compte de rien, ma secrétaire s'est trompée dans le prix...". Nul doute que Julien B devra réviser sa position rapidement car c'est bien lui qui a signé ce contrat...
Un stage intensif de gestion lui serait bien utile pour continuer à gérer correctement son entreprise et ainsi éviter ce genre de "bavure" qui risque de l'amener droit au dépôt de bilan et de mettre ainsi de nombreuses familles en chômage forcé.
- "Notre P.D.G. nous mène droit au mur !"
C'est avec ces mots que M. Ature Phil, cadre de la société Negoss'Tout Productions, a convoqué la presse.
En effet, c'est en parcourant les comptes de la société qu'il a découvert une série de ventes à perte pour des contrats de metre(s) carré(s) de parquet. Il est clair que cette situation n'échappera pas aux agents du législateur, et la société Negoss'Tout Productions risque une lourde amende.
- Des créations d'emplois en perspective
La société One 2 Trees vient d'inaugurer une nouvelle structure dans la municipalité de Kansas City dont l'activité est Ferme céréalière."Cette nouvelle usine va nous permettre d'accroitre notre compétitivité et d'accéder à de nouveaux marchés sur le plan mondial." a déclaré le P.D.G. de la société.
- "Le P.D.G. abuse !
"A l'heure de la réduction des coûts et des économies, notre patron se permet d'importer des quantités invraissemblable de produits.
C'est purement scandaleux !!!". C'est avec ces mots que le directeur des achats de la société Rdu Et Cie a claqué la porte de la société.
- La justice doit passer !
Il est inadmissible que des importations sauvages ruinent notre pays et cassent notre patrimoine industriel."
M. Samob Yvan, vice-président de la Chambre de Commerce, ne décolère pas depuis deux jours. En fait, depuis que le magasinier de la société Rdu E Amichi a affiché sur les murs de la ville les bordereaux de livraison de ces marchandises d'outre-mer. En effet, c'est autant qui échappe au commerce local et par conséquence à l'éconmomie et aux emplois de la région !
Une manifestation est prévue ce matin pour refuser ces pratiques d'un autre age et Herve Des Ursins risque le goudron et les plumes s'il est aperçu dans les parrages.
- De graves difficultés d'approvisionnement pour la société Le Marché De Rungis !
Chris T, PD.G. de la société Le Marché De Rungis, vient de lancer un véritable réquisitoire contre les fabricants de plusieurs produits de consommation courante dans les pages de quelques quotidiens de la presse régionale.
"Il est désormais impossible de trouver des producteurs dans des conditions correctes au point que j'ai été obligé de procéder à des importations en grosses quantités !
On espère que cette décision ne restera qu'un coup de poing sur la table et que les fournisseurs habituels seront à nouveau capables de s'adapter aux normes du marché.
- Un nouveau marché important
C'est avec une grande joie que les salariés de la société Whole Sell ont appris la nouvelle. Après de gros effort commerciaux et de lobbying, Whole Sell venait de décrocher le marché public de la commune de Brisbane portant sur une commande ferme de 17,516 hectolitre(s) de bière.
"Le marché que nous a attribué Jean Gabin (Membre du Conseil ndlr) va nous permettre d'embaucher une dizaine d'employés. Certes, c'est une aubaine pour notre société car cela augmente notre potentiel productif, mais également pour notre région qui va profiter directement des emplois que nous ouvrions suite à ce nouveau marché. Je félicite nos équipes commerciales qui ont montré que la société Whole Sell faisait partie des sociétés gagnantes et innovantes." a déclaré le dirigeant à la sortie de l'usine.
- "Une proposition très intéressante"
La commission des Membres du Conseil chargée d'examiner les réponses à l'appel d'offre de Abou Dhabi a rendu ses conclusions. "C'est la société Valor qui nous a fait la proposition la plus intéressante sur la plan financier ainsi que sur le plan de la qualité. Aussi, c'est elle que nous avons choisi." a déclaré Jean Gabin à la sortie de la commission.
Pour mémoire, l'appel d'offre qu'avait lancé la ville de Abou Dhabi portait sur 2,611 boeuf(s).
- Le contrat aurait pu passer inaperçu
C'est un excès de zèle d'un employé de la société Negoss'Tout Productions qui a permis de découvrir la combine : Julien B, dirigeant de la société, établi des contrats à perte !!!
Il faut savoir que cette pratique est totalement illégale et est sévèrement punie par le Conseil de Surveillance du Commerce (CSC). Aussi, le risque pour la société Negoss'Tout Productions est important et les employés commencent à douter des qualités de gestionnaire de leur patron.
- La fédération des commerçants est scandalisée !
La société G And Brother?s* 2 vend sa marchandise a perte ! "Les règles élémentaires du commerce sont bafouées. Jeremy Child's ne respecte pas les lois du marché et la sanction sera lourde et exemplaire.
Je ne comprends pas la démarche du P.D.G. : ce type de fraude est parfaitement connu et les services des impôts vérifient scrupuleusement les contrats des sociétés." a déclaré M. Ptipeu Justin a la sortie de la réunion mensuelle de la fédération des commerçants.
Faits divers
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Thaume Emma, bibliothécaire de la société Socmach, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Souri Kat, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- Festival pyrotechnique dans les locaux de la société Gro Enterprises !
La société Gro Enterprises nous a offert un magnifique feu d'artifice dans son usine. A priori , rien d'exceptionnel, sauf que ce spectacle nous a été offert à partir de la combustion volontaire d'un vieux stock d'outil de production. Les syndicats dénoncent les jeux puérils auxquels se livrent Jeffrey Lebowski, qui ferait mieux, selon eux, "de chercher à vendre sa camelote plutôt que de jouer avec le feu".
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société Socmach, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Ature Phil dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Daprélat Maxime, employé de la société Les Amis De Picsou a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Jean Gabin, le PDG de la société.
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Les Amis Du Maquis, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Les Amis Du Maquis." a déclaré Jean Gabin, P.D.G. de la société.
- Les syndicats avaient prévenu la direction
Hier soir, après les violents orages qui ont éclaté dans la journée, une partie du toit de l'usine de la société Alpha Wool s'est effondré, provoquant d'important dégat matériel.
"Cela fait des mois que nous avons prévenu la direction sur la nécessité de faire des travaux de consolidations de la charpente." a déclaré ce matin un délégué du personnel. "Les conditions de travail dans cette usine se dégradent de jours en jours. Il est normal que les outils de production et les locaux en patissent. On voit aujourd'hui le résultat de la politique de l'autruche que mène notre P.D.G. depuis trop longtemp."
Interrogé, Justin Peu ne s'est livré à aucun commentaire.
- Rions un peu !
Le PDG de la société L.A Immo Loc, Aurelien Lejeune avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société L.A Immo Loc, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Yotine Guy dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Les Amis De La Ramette !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Diote Kelly de la société Les Amis De La Ramette a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Jean Gabin, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Gro Enterprises !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Nanah Judas de la société Gro Enterprises a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Jeffrey Lebowski, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Micoton Mylène, bibliothécaire de la société Gro Enterprises, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Jeffrey Lebowski, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- Festival pyrotechnique dans les locaux de la société Gro Enterprises !
La société Gro Enterprises nous a offert un magnifique feu d'artifice dans son usine. A priori , rien d'exceptionnel, sauf que ce spectacle nous a été offert à partir de la combustion volontaire d'un vieux stock d'outil de production. Les syndicats dénoncent les jeux puérils auxquels se livrent Jeffrey Lebowski, qui ferait mieux, selon eux, "de chercher à vendre sa camelote plutôt que de jouer avec le feu".
- Rions un peu !
Le PDG de la société Papily Immo, Chris T avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société Fondation. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Elijah Baley, le PDG de la société.
- Un concert qui finit mal !
Le concert des New Hunkies (groupe de trash metal très en vogue actuellement) avait bien commencé. Hélas, vers 23 heures, une panne électrique a plongé la salle de concert dans l'obscurité, privant les fans du groupe de ce moment qu'ils voulaient inoubliable.
Et là, une bagarre généralisée a éclaté, ce qui a un début d'incendie dans la salle de concert !
Le temps que les secours soient prévenus et que les pompiers arrivent, l'incendie s'est propagé au bâtiment voisin occupé par la société Aurel Invest.
Bilan, quelques blessures légères du coté des spectateurs, une partie de la salle de spectacle est détruite, et des dégats matériels du coté de la société Aurel Invest.
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société Poilux Plastic. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Vincent K, le PDG de la société.
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Zepower Agathe, bibliothécaire de la société T.M. Beers And Bread, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Olivier Obu, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- La société Negoss'Tout Productions fait encore parler d'elle !
C'est durant la nuit que le gardien de la société Negoss'Tout Productions a été réveillé et a appellé les secours. En effet, une cuve de produit toxique s'est fissurée et une fuite importante a rapidement innondée l'usine. Si on ne déplore aucun bléssé, les dégats matériels ne sont eux pas négligeables.
Julien B, gérant de la société, est actuellement intérogé par la police sur l'utilité et les conditions de stockage de ces produits toxiques qui pouvaient être un danger pour la population voisine de l'usine.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Julien B, P.D.G. de la société Negoss'Tout Productions, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Engrais Du Rhin Corporation s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Dorsa Elsa, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Vincent K, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- La catastrophe a été évitée de peu...
"Ce qui arrive est normal, les outils utilisés n'ont jamais été changés." a déclaré Mme Infaux Hélène, employée de la société Terra Charbon +.
Hier dans l'après-midi, un incendie c'est déclaré dans l'atelier de production de la société. Immédiatement, le feu s'est propagé à des bureaux voisins et le reste du bâtiment ne doit son salut qu'à l'intervention rapide des pompiers.
"Nous allons rapidement réparé les dégats et nous remettre au travail." a déclaré simplement Benj Ulukai, P.D.G. de la société, aux journalistes présents sur les lieux.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Benj Ulukai, P.D.G. de la société Terra Charbon +, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Tracteur Flambeur !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Terrieur Alain de la société Tracteur Flambeur a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Julien B, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Tracteur Flambeur !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Yotine Guy de la société Tracteur Flambeur a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Julien B, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Festival pyrotechnique dans les locaux de la société Tracteur Flambeur !
La société Tracteur Flambeur nous a offert un magnifique feu d'artifice dans son usine. A priori , rien d'exceptionnel, sauf que ce spectacle nous a été offert à partir de la combustion volontaire d'un vieux stock d'outil de production. Les syndicats dénoncent les jeux puérils auxquels se livrent Julien B, qui ferait mieux, selon eux, "de chercher à vendre sa camelote plutôt que de jouer avec le feu".
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Nanah Judas, employé de la société Tracteur Flambeur a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Julien B, le PDG de la société.
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société Macadam, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Daibute Jean-Marc dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- L'inattention d'un salarié à l'origine du sinistre
Hier, dans l'après-midi, M. Yotine Guy, employé de la société Acme Immo a provoqué un accident qui aurait pû tourner un cauchemard. En intervenant sur une gaine électrique, celui-ci a provoqué un court-circuit. Cet incident aurait pû être mineur si l'outillage utilisé était aux normes en vigeur. Hors, ces plusieurs outillages qui ont été détruits ou rendus inopérationnels.
"Il s'agit d'un incident aux conséquences mineures." a minimisé Julien B, le PDG de la société.
- Grosse frayeur dans les locaux de la société Acme Énergie !
"Il faisait noir, j'ai eu peur, alors j'ai tiré au hasard." C'est par ces mots que M. Diote Kelly de la société Acme Énergie a expliqué comment il avait détruit l'un des outils de production nouvellement acheté dans l'usine.
Interrogé, Julien B, P.D.G. de la société s'est déclaré fort mécontent et de regretter "l'époque où les patrons pouvaient librement écarteler leurs salariés".
- Un concert qui finit mal !
Le concert des New Hunkies (groupe de trash metal très en vogue actuellement) avait bien commencé. Hélas, vers 23 heures, une panne électrique a plongé la salle de concert dans l'obscurité, privant les fans du groupe de ce moment qu'ils voulaient inoubliable.
Et là, une bagarre généralisée a éclaté, ce qui a un début d'incendie dans la salle de concert !
Le temps que les secours soient prévenus et que les pompiers arrivent, l'incendie s'est propagé au bâtiment voisin occupé par la société Vince Chemicals.
Bilan, quelques blessures légères du coté des spectateurs, une partie de la salle de spectacle est détruite, et des dégats matériels du coté de la société Vince Chemicals.
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Boitam Alice, bibliothécaire de la société Vince Chemicals, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Vincent K, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- Rions un peu !
Le PDG de la société Vince Chemicals, Vincent K avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Un concert qui finit mal !
Le concert des New Hunkies (groupe de trash metal très en vogue actuellement) avait bien commencé. Hélas, vers 23 heures, une panne électrique a plongé la salle de concert dans l'obscurité, privant les fans du groupe de ce moment qu'ils voulaient inoubliable.
Et là, une bagarre généralisée a éclaté, ce qui a un début d'incendie dans la salle de concert !
Le temps que les secours soient prévenus et que les pompiers arrivent, l'incendie s'est propagé au bâtiment voisin occupé par la société Vince Chemicals.
Bilan, quelques blessures légères du coté des spectateurs, une partie de la salle de spectacle est détruite, et des dégats matériels du coté de la société Vince Chemicals.
- Rions un peu !
Le PDG de la société Oresto, Laurent Lolopx87 avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Un concert qui finit mal !
Le concert des New Hunkies (groupe de trash metal très en vogue actuellement) avait bien commencé. Hélas, vers 23 heures, une panne électrique a plongé la salle de concert dans l'obscurité, privant les fans du groupe de ce moment qu'ils voulaient inoubliable.
Et là, une bagarre généralisée a éclaté, ce qui a un début d'incendie dans la salle de concert !
Le temps que les secours soient prévenus et que les pompiers arrivent, l'incendie s'est propagé au bâtiment voisin occupé par la société Oresto.
Bilan, quelques blessures légères du coté des spectateurs, une partie de la salle de spectacle est détruite, et des dégats matériels du coté de la société Oresto.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Julien B, P.D.G. de la société Acme Immo, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Micoton Mylène, bibliothécaire de la société Acme Immo, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Julien B, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- Une employée de bureau attaquée par une étagère de livres !
Mme Diossi Daisy, bibliothécaire de la société Acme Immo, travaillait comme à l'accoutumé dans les locaux de l'entreprise lorsqu'une grosse étagère de livres a cédé sous le poids et s'est effondrée sur l'innocente employée de bureau. Choquée, mais que très légèrement bléssée, celle-ci a été conduite rapidement à l'hôpital tout proche.
"Cela fait des mois que je cherche à remplacer ces meubles vétustes, mais hélas, je ne trouve pas de fournisseurs qui puissent m'apporter satisfaction." a déclaré Julien B, gérant de la société. "Je vais dès à présent prendre des mesures pour que l'on décharge cette bibliothèque et qu'un tel accident ne puisse plus se reproduire".
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Acme Immo s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Infaux Hélène, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Julien B, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Une visite d'usine qui a failli tourner au drame !
Hier après-midi, Aurelien Lejeune, P.D.G. de la société L.A Fabrique, fait visiter son usine à une délégation de futurs gros clients. Boissons et petits fours sont au rendez-vous et tout se passe très bien jusqu'à ce que la visite de l'usine commence.
En effet, après quelques minutes de visite, une imposante machine qui sert à la production s'est subitement mise à produire un sifflement désagréable et étourdissant, rendant toute présence dans l'usine interdite. De fait, les employés ont dû quitter leur poste de travail et la production a été stoppée temporairement.
Ensuite, il a fallu plus d'une demi-heure à l'équipe de techniciens pour venir à bout de la source sonore.
L'incident aurait pu passer inaperçu si les syndicats ne s'étaient pas mélés à l'affaire et en avait profité pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail.
A l'issue de la journée, les visiteurs sont partis avec une piètre image de la société.
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société Acme Immo, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Samob Yvan dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- Rions un peu !
Le PDG de la société A.P.I.V., Aurelien Lejeune avait invité quelques clients à visiter son usine. A 13h30 : l'un des outils de production censé être l'un des plus modernes de la région explose dans un panache de fumé malodorante. L'incident aurait pu passer innaperçu s'il ne s'était produit en plein milieu d'une démonstration, ridiculisant du même coup le P.D.G. qui ne faisait que vanter la perfection absolue de ses moyens de production...
- Un défaut d'entretien flagrant
Une fois de plus les syndicats de la société Oliquid s'insurgent devant le manque de motivation flagrant de la direction pour entretenir les outils de production.
"Hier encore, un salarié a faillit perdre la vie lorsqu'une machine s'est emballée sans raison en provoquant des dégats importants aux alentours" a déclaré ce matin Mme Greux Nadine, porte-parole des syndicats. "La politique de l'autruche ne nous mène nulle part et il est important que les choses changent ! La direction ne peut pas laisser nos conditions de travail se dégrader de cette façon."
Vincent K, gérant de la société, ne s'est livré a aucun commentaire sur le sujet.
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société Les Amis De La Méditerranée, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Daibute Jean-Marc dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Chris T. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société Aliorine."
- L'incendie aurait pu être évité !
C'est tard dans la soirée que l'incendie s'est déclaré dans une partie désafectée du bâtiment de la société Aliorine. Les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont pu facilement maitriser le sinistre.
"Les locaux, du fait de l'heure tardive de l'évènement, étaient vides. Les dégats sont importants, et ne concernent que quelques outils de production." a déclaré Chris T, le PDG de la société.
- Un accident qui aurait pu mal finir
Hier, dans l'après-midi, dans l'usine de la société Aliorine, une grosse machine industrielle a subitement pris feu. Si les employés présents ont rapidement réagis, ils n'ont pu empêcher un des leurs de se brûler légèrement avant d'éteindre le sinistre. "Nous faisons régulièrement des exercices pour lutter contre ce type d'accident. Et nous essayons d'avoir une politique active pour lutter contre ce type de risque. Aujourd'hui, il n'y a eu qu'un blessé et je pense que la réactivité des personnes présentes a permis d'éviter un drame plus important." a exprimé le PDG de la société aux journalistes arrivés sur les lieux.
Les secours, arrivés très rapidement sur les lieux, ont transporté M. Strueux Simon dans l'hôpital public de la ville où les médecins ont émis un diagnostic rassurant vis à vis des blessures qu'il a subit.
- "Voilà où les économies de queues de cerises nous mènent"
"Cela fait des mois que les syndicats s'insurgent devant la politique de Elijah Baley. Il veut acheter moins cher au détriment de la qualité ! Aujourd'hui, on voit le résultat. Et encore, on a eu de la chance car cet accident aurait pu être bien plus grave." a déclaré un syndicaliste à la presse locale. "Ce n'est pas ce nouvel accident qui va redorer l'image de la société Rdu R&b."
- Un accident qui aurait pu tourner à la catastrophe
Hier midi, dans les locaux de la société Rdu R&b, un incendie s'est déclaré suite à la vétusté d'un équipement de production. Et c'est l'intervention rapide de 3 employés qui a permis d'éteindre rapidement le sinistre.
Cette intervention salutaire a permis d'éviter le drame. En effet, l'icendie s'est déclaré à coté d'un important stock de produits chimiques hautement inflamable.
"Le pire a été évité. Dès demain, une commission sera nommée pour définir une politique de sécurité sur l'ensemble des site de la société Rdu R&b." a déclaré Elijah Baley, P.D.G. de la société.
Liquidations & Faillites
- Rien pour les ex-salariés !!!
M. Yotine Guy est sorti du palais de Justice en hurlant !
Cet ex-salarié de la société C.P.A.M Trade & Logistics a fait toute sa carrière dans la société auprès de son ami d'enfance : Guillaume Le Lan. Et aujourd'hui, à l'heure du bilan, il apparaît qu'il ne reste rien dans les caisses. "Notre patron s'est foutu de nous. Nous n'avons plus rien. Certains, comme moi, sont ruinés. Et le pire, c'est qu'aujourd'hui, il ne me reste que mes yeux pour pleurer." a t'il déclaré à la presse
Social
- "DEHORS !!!"
C'est par ces mots que Aurelien Lejeune a remercié 550 salariés de sa société (Mode Chic) pour leur contribution aux résultats.
Ils ont donc été prié de quitter les lieux avant midi et d'emporter tous leurs effets personnels.
Les syndicats, choqués, ont signalé qu'ils ne resteraient pas sans réagir.
- Les syndicats appellent à la grêve !
C'est avec une énorme surprise que les employés de la société Macadam ont appris la nouvelle : un plan social pour près de 100 employés.
Aussitôt, les organisations syndicales se sont réunies et ont lancé un préavis de grêve.
- Démission du chef des travaux de la société Acme Énergie
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Nervé Aimée, chef des travaux de la société Acme Énergie, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- Nouvelle vague de licenciements !
Une nouvelle vague de licenciement touche la société Acme Énergie, où Julien B vient d'annoncer un plan de restructuration visant à rationaliser la production de la société. 12 personnes sont désormais disponibles sur le marché du travail.
Comptant sur la conjoncture économique favorable de la région, la municipalité signale que ces personnes devraient rapidement retrouver du travail.
- La société Mode Chic se permet de licencier !
La nouvelle s'est vite répandue dans les locaux de la société Mode Chic : le P.D.G. a licencié un nombre important de salariés. Et maintenant, les employés craignent pour leur emploi et se posent des questions sur la fiabilité de leur société.
Les syndicats, réunis en conseil extraordinaire n'ont pas encore réagis a cette nouvelle décision.
- Démission du chef des travaux de la société Sihol Lithium
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Tim Vincent, chef des travaux de la société Sihol Lithium, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- Démission du chef des travaux de la société Socmach
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Teufarci Thomas, chef des travaux de la société Socmach, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- Démission du chef des travaux de la société Vince Tires
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Aihanvi Jean, chef des travaux de la société Vince Tires, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- Démission du chef des travaux de la société Aliorine
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Gérard Mansoif, chef des travaux de la société Aliorine, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- Démission du chef des travaux de la société Acme Déchets
Hier matin, dans une conférence de presse imporvisée, M. Tounet Patrice, chef des travaux de la société Acme Déchets, a annoncé sa démission du poste qu'il occupait. "Je ne souhaite plus travailler dans ces conditions. Les outils ne sont pas entretenus et les conditions de travail sont exécrables. J'ai pris cette grave décision suite à un incident sur une machine qui a failli me couter la vie." Cette démonstration publique ne serait que la partie visible d'un malaise qui dure depuis plusieurs mois dans la société.
- Les syndicats appellent à la grêve !
C'est avec une énorme surprise que les employés de la société L.A Immo Loc ont appris la nouvelle : un plan social pour près de 10 employés.
Aussitôt, les organisations syndicales se sont réunies et ont lancé un préavis de grêve.
Sport
- Le championnat du monde de bridge annulé
Hier soir, un violent incendie s'est déclaré dans les locaux de la société L.A Immo Loc sponsor et organisatrice du championnat du monde de bridge.
Ce matin, Aurelien Lejeune, P.D.G. de la société, a déclaré :"Les dégats sont importants et remettent en cause l'organisation et le bon déroulement de ce championnat. Aussi, la fédération mondiale de bridge a décidé d'annulé l'édition du championnat de cette année." La réparation des locaux, prise en charge en partie par les assurances, devrait se faire rapidement.
- Le championnat du monde de bridge annulé
Hier soir, un violent incendie s'est déclaré dans les locaux de la société Gro Enterprises sponsor et organisatrice du championnat du monde de bridge.
Ce matin, Jeffrey Lebowski, P.D.G. de la société, a déclaré :"Les dégats sont importants et remettent en cause l'organisation et le bon déroulement de ce championnat. Aussi, la fédération mondiale de bridge a décidé d'annulé l'édition du championnat de cette année." La réparation des locaux, prise en charge en partie par les assurances, devrait se faire rapidement.
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